Titre : Entretien Louis Fouché et Dr Claude Escarguel : Covid Long, Effets Secondaires des Vaccins et Solutions Thérapeutiques (11 mars 2025)
Mots-clés : Louis Fouché, Claude Escarguel, covid long, effets secondaires vaccins COVID-19, syndromes post-infectieux, interphéropathie, auto-immunité, traitements précoces, ivermectine, hydroxychloroquine, microbiote, Fondation Montagnier, association victimes, santé chronique, 2025.
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Entretien exclusif du 11 mars 2025 entre Louis Fouché et le Dr Claude Escarguel, biologiste et coprésident d’une association de victimes du COVID long et des vaccins ARNm. Ils explorent les mécanismes des syndromes post-infectieux, le rôle de l’interféron, du microbiote et des traitements précoces (ivermectine, hydroxychloroquine), ainsi que les défis des maladies chroniques. Une analyse scientifique et humaine pour soutenir les victimes.
Introduction : Soutien aux Victimes du COVID et des Vaccins
[Pas de musique mentionnée au début dans le texte fourni]
Dr Claude Escarguel :
Bonjour Louis, ça va ? Tu vas bien ?
Louis Fouché :
Ça va impeccable, ouais. Merci beaucoup d’être avec nous aujourd’hui. On est réunis pour que tu présentes une association que tu coordonnes en partie, qui s’occupe des victimes d’effets secondaires des vaccins anti-COVID et du COVID long, deux pathologies potentiellement homologues. Peux-tu te présenter et nous parler de cette association ?
Dr Claude Escarguel :
Oui, voilà. Je suis biologiste, j’ai été biologiste hospitalier pendant 30 ans et j’ai créé des sociétés de biotechnologie. J’ai collaboré avec le Pr Luc Montagnier et l’IHU de Marseille (Didier Raoult) sur divers domaines. Suite à la pandémie, j’ai travaillé jusqu’en 2023 avec Montagnier, partageant ses vues sur l’origine du virus et les mécanismes physiopathologiques des formes graves, communs à toutes les infections virales (influenza, virus respiratoires).
Parcours et Rôle dans l’Association
De la Biotechnologie à la Défense des Malades
Dr Claude Escarguel :
Pendant la pandémie, on m’a demandé de coprésider une association de malades du COVID long, née de la lutte contre les traitements de l’hypothyroïdie, notamment le scandale du Levothyrox. Elle a contribué à faire reconnaître les problèmes du Levothyrox depuis 2017. Fin 2020, j’ai fait une intervention à Paris pour cette association, puis on m’a proposé de la coprésider.
Louis Fouché :
J’ai affiché le site internet à l’écran, on voit votre travail sur le Levothyrox depuis 2017.
Dr Claude Escarguel :
Oui, et je fais aussi partie du conseil scientifique de la Fondation Montagnier, qui étudie les maladies chroniques liées à l’absence ou à l’inadaptation des traitements des infections virales (Lyme long, grippe longue, COVID long).
COVID Long et Syndromes Post-Infectieux : Une Hypothèse Commune
Mécanismes Physiopathologiques
Louis Fouché :
N’importe quelle maladie infectieuse peut laisser des séquelles post-infectieuses, comme le COVID long, assimilé officiellement à ces syndromes.
Dr Claude Escarguel :
Absolument. Que ce soit le virus SARS-CoV-2 ou sa protéine Spike, ils entraînent un état d’alerte permanent avec une stimulation anormale de l’interféron, typique des syndromes post-infectieux chroniques. On les assimile à des interphéropathies, avec des signes similaires à ceux des traitements à l’interféron pour les hépatites virales : neurologiques, auto-immuns, inflammatoires.
Hyperimmunité et Immunodépression
Dr Claude Escarguel :
On observe une hyperimmunité (inflammation, auto-immunité avec diabètes ou atteintes d’organes) et une immunodépression relative, favorisant la réémergence de crypto-infections. Dès 2020, avec une cinquantaine de médecins et mon fils pneumologue, nous avons traité les malades COVID avec azithromycine et zinc, faute d’hydroxychloroquine interdite. Les résultats étaient surprenants : presque pas d’hospitalisations ni de décès sur des milliers de cas (ex. Dr Bernard Giraralde, Dr Lucie Hébert avec 1200 patients).
Traitements Précoces : Une Réduction du COVID Long
Efficacité Observée
Dr Claude Escarguel :
Non seulement les formes graves étaient rares, mais aussi les COVID longs. Les formes graves s’expliquent par un déficit d’interféron (auto-anticorps ou immunosenescence chez les personnes âgées), permettant une réplication virale massive et une mémoire interférentielle persistante. Mais les COVID longs chez des 30-50 ans sans forme grave nous ont intrigués.
Hypothèse des Maladies Auto-Immunes
Dr Claude Escarguel :
Avec la Fondation Montagnier, en collaboration avec des rhumatologues, nous avons supposé que ces cas correspondent à des maladies auto-immunes latentes, touchant 90 % de femmes entre 30 et 50 ans. Un virus ou une bactérie, sur un terrain génétique et environnemental, pourrait être le déclencheur. La signature interféron, mesurable dans peu d’hôpitaux en France, confirmerait cela.
Louis Fouché :
Donc, des susceptibilités génétiques, alimentaires ou microbiennes prédisposent à l’auto-immunité, révélée par la Spike (virale ou vaccinale), franchissant un seuil immunitaire. Peux-tu expliquer la signature interféron ?
Signature Interféron : Clé de la Physiopathologie
Rôle de l’Interféron
Dr Claude Escarguel :
L’interféron, une cytokine, neutralise les virus, notamment l’interféron 1 dans l’immunité innée. Notre hypothèse : les patients en pré-maladie auto-immune ont une signature interféron anormale. Malgré un interféron élevé, une surdose liée à l’infection ou à la vaccination expliquerait les symptômes du COVID long et des spikopathies vaccinales.
Adapter les Traitements
Dr Claude Escarguel :
Mesurer cette signature permettrait d’ajuster les traitements précoces. Les macrolides (azithromycine) et cyclines stimulent l’interféron, bénéfiques pour les immunodéprimés, mais risqués pour ces patients, aggravant l’interphéropathie. L’hydroxychloroquine, immunomodulateur réduisant l’interféron, serait plus adaptée. Didier Raoult privilégiait l’hydroxychloroquine, mais nous disions : attention, ça dépend des cas.
Louis Fouché :
C’est passionnant. On passe d’un traitement empirique à une compréhension fine des voies métaboliques, adaptant les thérapies au profil immunitaire pour éviter les maladies auto-immunes post-traitement.
Thromboses et Myocardites : Lien avec l’Inflammation
Louis Fouché :
Ces interphéropathies, liées au terrain et aux traitements, expliquent-elles les thromboses et myocardites ?
Dr Claude Escarguel :
Oui, c’est l’inflammation chronique. Une surcharge virale ou une stimulation excessive déséquilibre l’endothélium, entraînant des troubles de la coagulation. L’interphéropathie, le système rénine-angiotensine, la production persistante de Spike vaccinale et les dysbioses microbiennes aggravent cela.
Perspectives Thérapeutiques pour les Séquelles
Limites et Pistes
Dr Claude Escarguel :
Je me limite à la physiopathologie, moins au traitement, où d’autres sont plus compétents. L’ivermectine, l’hydroxychloroquine ou le Plaquenil pourraient aider, mais chaque patient est unique. Il faut démêler interphéropathie, production de Spike et dysbiose.
Louis Fouché :
C’est complexe à généraliser publiquement. Cela relève de la relation médecin-patient.
Passagers Clandestins et Maladies Chroniques
Dr Claude Escarguel :
En Afrique du Sud, le Dr Cécile Jadin (Fondation Montagnier) traite les maladies chroniques liées à des « passagers clandestins » (mycoplasmes, chlamydiae, rickettsies). Elle utilise des macrolides/cyclines (antibiofilms), des céphalosporines (bactéricides) et de la N-acétylcystéine (anti-inflammatoire, anticoagulant). Ces thérapies améliorent les syndromes chroniques, y compris potentiellement le COVID long, en ciblant dysbioses et biofilms.
Louis Fouché :
J’ai synthétisé la littérature sur le potentiel pro-amyloïdogène de la Spike, liée à des dépôts toxiques (Alzheimer, Parkinson). Tu relies cela aux dysbioses et aux protéines mal repliées.
Microbiote et Cancers : Une Nouvelle Frontière
Dr Claude Escarguel :
Oui, les biofilms bactério-viraux dans les cellules cancéreuses (prostate, sein) amplifient la réplication virale (ex. HPV et mycoplasmes). Les amyloïdes, initialement défensives, deviennent toxiques par mauvais repliement, favorisant cancers et neurodégénérescence.
Visions Prophétiques de Luc Montagnier
Dr Claude Escarguel :
Montagnier avait trois intuitions confirmées :
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Origine artificielle du virus : Une fuite de laboratoire (gain de fonction), validée par des enquêtes américaines.
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Vaccinoprudence : Les vaccins ARNm, critiqués comme toxiques, ne sont pas pleinement évalués.
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Dysbiose et virulence : Le virus agit via des microbiotes perturbés (buccal, pulmonaire, digestif), amplifiant les formes graves, comme démontré par Nicholson et Brogna.
Louis Fouché :
Cela ouvre des perspectives pour les anti-infectieux dans les cancers. L’ivermectine, comme les macrolides, agit aussi sur les bactéries et les canaux ioniques.
Soutien aux Victimes : Rôle de l’Association
Louis Fouché :
Les victimes de COVID long ou de spikopathies ont-elles intérêt à contacter ton association ?
Dr Claude Escarguel :
Oui, Annie Notel, notre coprésidente, aide sans relâche sur le plan administratif, la reconnaissance et la protection. En France, 2 millions de personnes en arrêt pour COVID long sont méprisées, classées psychiatriques, aggravées par les neuroleptiques. Reconnaître la maladie pousserait à des solutions.
Conclusion : Un Appel à la Reconnaissance
Louis Fouché :
Une phrase de conclusion ?
Dr Claude Escarguel :
Nous, avec d’autres associations, pensons que le prix Nobel de la paix 2026 devrait revenir aux médecins (Montagnier, Raoult, Zelenko, McCullough, toi) qui ont sauvé des millions par des traitements précoces, face aux manipulations virales, et non à Donald Trump, qui a relancé les gains de fonction.
Louis Fouché :
Merci beaucoup, Claude. On arrive au bout. Un grand merci à tous de nous avoir suivis. À bientôt pour de nouvelles aventures ! Salut !
Conclusion SEO :
Entretien du 11 mars 2025 avec Louis Fouché et le Dr Claude Escarguel sur le COVID long et les spikopathies vaccinales. Découvrez les liens entre interféron, microbiote et maladies chroniques, et l’action de leur association pour les victimes.
