Entretien avec Andrea Stramezzi et Federico Mele - Les Gardiens du Vivant - Juillet 2025
Date : Mi-juillet 2025 (période estivale)
Locuteurs : Louis Fouché, Andrea Stramezzi, Federico Mele
Thème : Retour sur la crise Covid, l’International Crisis Summit, et les enjeux de pouvoir mondial
[Musique d’introduction]
Introduction par Louis Fouché
Louis Fouché :
Bonjour à tous, je suis ravi de vous retrouver pour la suite de nos entretiens avec des figures marquantes de la période Covid et de ces dernières années. Je suis le docteur Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur, sans conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique, vaccinale, des assurances ou du numérique. J’essaie de donner la parole à ceux qui ont marqué l’histoire récente. Aujourd’hui, j’ai la chance de recevoir Federico Mele et le docteur Andrea Stramezzi. Bonsoir Federico, bonsoir Andrea, vous allez bien ?
Federico Mele :
Très bien, merci Louis. Bona sera à tous, bonsoir à tout le monde. Merci beaucoup de l’invitation.
Andrea Stramezzi :
Oui, merci beaucoup d’être là.
Rôle de Federico Mele : Lien entre Italie et France
Louis Fouché :
Federico Mele est un infatigable tisseur de liens entre l’Italie et la France. Nous poursuivons notre session estivale de conférenciers italiens pour renforcer les ponts entre ces deux pays si proches, avec tant à partager. Merci Federico pour cela. Peux-tu te présenter succinctement ?
Federico Mele :
Bonsoir à tous. Je suis docteur magistral, ingénieur en électronique, spécialisé en électronique biomédicale, nanotechnologies et nanobiosciences. Je suis aussi juriste officiel. Je suis ravi d’être ici pour continuer à créer un lien entre l’Italie et la France. Après, je traduirai aussi la présentation de Louis Fouché pour les Italiens.
Présentation d’Andrea Stramezzi
Louis Fouché :
Merci Federico. Andrea, tout va bien ? Peux-tu te présenter succinctement ? On aura besoin de traduction, parle en italien ou en français comme tu veux, Federico est là pour aider.
Andrea Stramezzi :
Moi, je suis simplement un médecin qui, au début de 2020, a compris qu’il fallait faire quelque chose pour traiter les patients abandonnés à domicile, mourant sans aide de l’État ou de leur médecin. J’ai commencé à visiter ces gens – vieux, jeunes, femmes, hommes – vraiment laissés pour compte. J’ai utilisé mes connaissances universitaires et les publications scientifiques, comme celles du professeur Didier Raoult, qui avait testé in vitro l’association azithromycine et hydroxychloroquine, avec de bons résultats.
Observations cliniques précoces (mars 2020)
Andrea Stramezzi :
Dès mars 2020, avec mes premiers cas, j’ai vu que c’étaient des infections respiratoires, mais aussi intestinales. J’ai compris que ce virus se répliquait dans l’intestin, aggravant les dommages. L’intuition de Didier Raoult était géniale : l’azithromycine libérait l’intestin du virus. Avec des anti-inflammatoires comme la cortisone et des anticoagulants comme l’héparine, on pouvait agir.
Deux phases de la maladie Covid
Andrea Stramezzi :
J’ai identifié deux phases : une infection virale pulmonaire initiale, puis, chez certains sujets (obèses, diabétiques, ou génétiquement prédisposés), une tempête cytokinique, transformant une maladie virale en maladie auto-immune. Le système immunitaire devenait l’ennemi, avec une réaction exagérée. La cortisone bloquait cette réaction, et l’héparine prévenait l’hyperinflammation des petits vaisseaux, facilitant l’oxygénation. Dès mi-mars 2020, on pouvait soigner tout le monde.
Résistance institutionnelle
Andrea Stramezzi :
J’ai essayé d’expliquer cela à mes collègues italiens, à l’Ordre des médecins, au ministère de la Santé où je travaillais comme volontaire Covid. Mais ils ne voulaient que paracétamol et attendre que la maladie s’aggrave pour appeler les secours et hospitaliser. C’était une grave erreur.
Enjeux vaccinaux et économiques
Andrea Stramezzi :
Pourquoi ? Parce qu’ils savaient qu’un vaccin ou un médicament ne pouvait être commercialisé sans expérimentation, sauf en urgence grave – comme des morts dans les rues, montrés en Chine. La loi disait qu’un produit mRNA, totalement nouveau, ne pouvait être autorisé s’il existait des traitements efficaces. C’est cette bataille que nous avons menée, toi Louis, et peu de médecins dans le monde, pour la vérité, la justice et sauver des vies.
Synthèse et questionnement par Louis Fouché
Louis Fouché :
Merci Andrea. Je vais tenter une synthèse et jouer le naïf pour te poser des questions. Tu as rejoint un groupe de soins Covid volontairement avec le gouvernement italien. Ton expérience clinique et la littérature scientifique t’ont montré deux phases distinctes : une phase virale précoce et une phase inflammatoire secondaire, une vascularite affectant l’oxygénation pulmonaire. Tu as vu des patients abandonnés, avec des recommandations officielles limitées à "paracétamol et bonne chance", attendant le SAMU. Pourtant, tu as compris vite, grâce à ton expérience et aux travaux d’autres pays, qu’anticoagulants, anti-inflammatoires, oxygène et antiviraux (azithromycine et hydroxychloroquine dans ta pratique) étaient efficaces sur les deux phases. Pourquoi le gouvernement et l’Ordre des médecins refusaient-ils ces traitements ? Tu as interprété cela comme une guerre économique pour ouvrir le marché vaccinal. C’est bien ça ?
Andrea Stramezzi :
Absolument. J’adore ta traduction en français de mon "français espagnol" – je parle comme une vache espagnole, mais tu traduis très bien, merci !
Genèse de l’International Covid Summit (ICS)
Louis Fouché :
On s’est rencontrés à l’International Covid Summit (ICS), où scientifiques, chercheurs et médecins de nombreux pays ont offert un autre regard sur la crise Covid-19. Pour toi, ça a commencé comme une crise sanitaire, mais tu penses qu’il y a d’autres enjeux ?
Andrea Stramezzi :
Oui, absolument. L’ICS a débuté avec Robert Malone – tu le connais bien, Louis. On était en Zoom avec lui, des médecins nord, centre et sud-américains. En Italie, on avait déjà la vague à Bergame et Milan, mais en Amérique, peu de cas. On leur expliquait nos soins. Un soir, à 1h15, j’ai dit à Robert : "C’est incroyable, presque un an après cette pandémie déclarée par l’OMS, et aucun congrès international de médecins pour partager expériences et solutions." Il m’a répondu, naïf comme un enfant : "S’ils ne l’ont pas fait, on peut le faire nous." J’ai ri : "Tu te rends compte ? Nous deux, un congrès mondial ?" Il a dit : "Pourquoi pas ?" Ainsi est né l’ICS à Rome, puis Marseille, Paris, Bruxelles, Bucarest, Washington. Le prochain sera en septembre, loin de la France et de l’Italie.
Évolution vers l’International Crisis Summit
Andrea Stramezzi :
À Bruxelles, avec toi et les autres, on a compris que le Covid n’était pas une urgence séculaire, mais un pas prévu par des agences financières comme BlackRock, Vanguard, State Street, le Forum Économique Mondial (WEF) et l’OMS. Ces crises – climatiques, alimentaires, guerres – sont des tentatives de contrôle mondial, inspirées par la Fabian Society (Londres, 1884). George Orwell a écrit 1984 pour son centenaire. Ils rejettent la démocratie, estimant le peuple analphabète, et veulent une technocratie élitiste. L’ICS est devenu l’International Crisis Summit pour refléter cette prise de conscience.
Enjeux politiques et financiers : Une crise systémique
Louis Fouché :
On a passé 10 minutes sur la médecine, puis 10 sur une crise plus vaste. Le Covid est un état d’exception parmi d’autres (climatique, alimentaire), justifiant des entorses aux droits et au fonctionnement sociétal. Ça remonte loin, orchestré par une finance internationale apatride, dédiée à l’argent, instaurant une technocratie via des instances comme l’OMS. Pourtant, beaucoup qualifient cela de "complotiste" car ça fait peur, bien que décrit par Arendt, Orwell, Agamben et les puissants eux-mêmes. L’ICS explore ces enjeux de contrôle social. Tu t’es intéressé à l’OMS : comment s’empare-t-elle du pouvoir ?
Financement et contrôle de l’OMS
Andrea Stramezzi :
L’OMS est particulière. On dit qu’elle est privatisée, financée à 70 % par Bill Gates, GAVI, Big Pharma – c’est faux. Seulement 20 % viennent de privés, le reste des États (Chine, USA, etc.). Mais ces 20 % (70 % de Big Pharma, Gates, GAVI) contrôlent tout – environ 14 % des fonds totaux. Le directeur, Tedros, n’est pas médecin, mais un ex-ministre éthiopien, accusé par certains d’être un terroriste financé par la Chine. Non élu, il a tenté de s’arroger les pouvoirs sanitaires mondiaux via le traité pandémique.
Le traité pandémique : Un coup d’État avorté
Andrea Stramezzi :
À Genève, on a combattu ce traité. Il prévoyait que Tedros, sans diplôme médical, puisse déclarer une épidémie ou une urgence (y compris climatique, via "One Health") et imposer lockdowns, vaccins ou mesures, même aux États-Unis ou en Europe, sans passer par les souverainetés nationales. C’était un coup d’État. Biden et Von der Leyen ont essayé de le faire passer, mais grâce à Federico, toi, et tant d’autres, la conscience critique l’a bloqué. Leurs intentions persistent, et l’IA sera leur arme.
Louis Fouché :
Donc, l’OMS est un outil de coup d’État planétaire, court-circuitant la démocratie. On s’est réunis à Genève le 1er juin pour manifester pacifiquement. Le traité n’a pas été signé, mais il revient par la petite porte. Ça nous réveille pour reprendre la démocratie à toutes les échelles.
Corruption des gouvernements et pouvoir financier
Louis Fouché :
Les gouvernements européens semblent corrompus, prolongements des financiers. C’est aussi ton impression en Italie ?
Andrea Stramezzi :
Absolument. Les trois plus grands fonds – Vanguard, BlackRock, State Street – gèrent 22 000 milliards de dollars par an, 12 fois le PIB italien (G7). Trois PDG anonymes peuvent appeler Draghi, Macron ou Meloni et dire : "Oblige les vaccins, j’ai investi 500 milliards dans Big Pharma", ou "J’ai misé sur le pétrole pour la guerre en Ukraine". S’ils refusent, ces fonds peuvent détruire leur économie en 48 heures.
Pression sur les dirigeants
Andrea Stramezzi :
J’ai connu Draghi. Je pensais qu’il comprenait que les vaccins mRNA, pour un virus RNA changeant, étaient inefficaces et dangereux sans tests suffisants. Mais un appel de ces financiers peut tout changer. Gauche ou droite, ils obéissent. Nous, citoyens, sommes sous la table ; eux, dessus. Si des millions se soulèvent ensemble, la table tombe.
Louis Fouché :
Quel que soit le dirigeant – Tsipras en Grèce, Meloni en Italie –, ils cèdent aux financiers. En France, on débat gauche-droite, mais c’est un jeu de dupes, une société du spectacle. Le vrai défi est de recréer du lien localement, malgré la difficulté.
Andrea Stramezzi :
Oui, Luc Montagnier disait : "La vérité monte par les escaliers, le mensonge prend l’ascenseur." Nous, soldats de lumière, gagnerons pour la justice et la liberté.
Répression et protocolisation de la médecine
Louis Fouché :
Aujourd’hui, travailles-tu normalement ? As-tu été inquiété par l’Ordre des médecins italien ?
Andrea Stramezzi :
Je travaille, mais j’ai été enquêté cinq fois par l’Ordre, avec 19 mois de suspensions cumulées. J’ai fait appel, mais en Italie, le deuxième niveau n’est pas une cour indépendante, c’est une commission nommée par Draghi (novembre 2021) sur conseil de Speranza – un peloton d’exécution. La Cour de cassation ne juge que les formes, pas le fond. Des milliers de soignants risquent la radiation sans justice.
Protocolisation et Big Pharma
Andrea Stramezzi :
Depuis les années 90, les protocoles ont remplacé la liberté médicale. Avant, le médecin agissait avec responsabilité selon ses connaissances. Les guidelines promettaient l’égalité des soins, mais elles sont dictées par des autorités sanitaires financées par Big Pharma, via une littérature scientifique qu’ils contrôlent. Exemple : le cholestérol passe de 300 à 180 comme seuil dangereux, imposant des statines. Si un médecin refuse, il risque la prison.
Louis Fouché :
Cette protocolisation, pilotée par Big Pharma, crée un business de la maladie éternelle, rendant sains les malades (ex. Covid asymptomatique). L’IA amplifie cette société automatique.
Espoirs et combats d’Andrea Stramezzi
Louis Fouché :
As-tu des pistes d’espoir pour continuer ce combat de lumière ?
Federico Mele (traduction) :
Je traduis pour les Italiens : Louis demande à Andrea s’il a des espoirs pour demain.
Andrea Stramezzi :
Oui, sinon j’aurais arrêté. À Washington (ICS 5, janvier-février 2025), j’ai parlé du traité pandémique devant des sénateurs. J’ai demandé : "George Washington, Franklin ou Lincoln auraient-ils cédé la souveraineté sans un coup de fusil ?" Ça les a fait réfléchir.
Rôle des Français et des Américains
Andrea Stramezzi :
Les USA ont cet esprit, hérité de la France (Statue de la Liberté). Les Français sont parmi les rares prêts à descendre dans la rue pour leurs droits. Je combattrais avec eux. Comme Hegel le disait : si l’esclave obéit, le maître est légitime ; s’il désobéit, le maître n’existe plus. Nous devons reprendre nos libertés, informer sans relâche, même épuisés.
Action au Brésil
Andrea Stramezzi :
À Brasilia, après deux vols sans dormir, j’ai parlé 8h30 au Sénat contre l’obligation vaccinale pour les enfants (6 mois-5 ans). J’ai dit en direct : "Votre président Lula est un criminel, ces vaccins tueront des enfants inutiles à vacciner." Vingt jours plus tard, une loi a bloqué cette circulaire. Ce n’est pas de l’héroïsme, c’est du courage – agir avec le cœur.
Louis Fouché :
Garde l’espoir : les tyrans tombent, la vie renaît. Reconnectez-vous à l’amour, la nature, l’art pour reprendre des forces.
Mot de la fin
Andrea Stramezzi :
Maintenez l’espoir, reprenez le lien avec ceux que vous aimez, la beauté, la prière, la musique, la danse, l’art. L’amour sauvera le monde.
Federico Mele (traduction) :
Andrea dit : "Mantenete la speranza, riprendete il legame con chi amate, la bellezza, la musica, l’arte. L’amore salverà il mondo."
Louis Fouché :
Merci Andrea, Federico. Comme Christian Perronne, notre force est notre humanité fragile. Dire non au toxique est le premier pas. Bonne soirée, profitez de l’été pour revenir plus forts !
[Musique de fin]
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